Ce jour est le Jeudi de l'Ascension et il y a un monde fou sur les routes. Arcachon est inabordable et j'ai quelques hésitations à me faufiler entre les voitures du fait de la largeur de mon chargement. Après Arcachon, Le Pyla, puis la dune du Pilat.
Arrêt photos devant l'entrée du camping des flots bleus où a été tourné le fameux film « Camping », quelques vues ensuite sur l'océan et ses quelques surfeurs et c'est l'arrivée sur le golf de Biscarosse, avec, j'avais oublié, un don du ciel sous forme de gouttes.
Accueil par l’hôtesse et le directeur à l'accent espagnol.
Une fois n'est pas coutume, j'ai le temps d'avaler un menu du jour au restaurant du golf qui vaut mieux qu'un échauffement sérieux sous la pluie.
Le départ du 1 sera sous une averse démente. Il n'y avait effectivement pas d'urgence à sortir. C'est parti pour un parcours franchement humide mais pas pataugeoire pour autant.
Quelques maisons sympa en bordure de fairways, pas l'ombre d'un golfeur devant ou derrière.
L'expérience me fait dire que les vêtements que je porte sont vraiment techniques et fiables ou encore en un mot : waterproof. En effet, l'eau ne perce pas. Ceci dit, dès le trou numéro 6, je trouve que le fun n'y est pas et décide de me contenter de 9 trous. C'est tout dégoulinant que je rentrerai au vestiaire.
Nous sommes le 9 soit à mi-parcours, impec, il me fallait à ce moment gérer cet aspect de la logistique. Et puis, last but not least : un spa, un vrai, rien à voir avec celui du matin.
